Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/220

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celui qui écoute… À demain, milord ; je vous attendrai.

Elle s’inclina, gracieuse et souriante comme au sortir d’un entretien frivole. Frank n’eut pas tant de force. Sa détresse se lisait sur chacun de ses traits ; il continua de marcher, cherchant un lambris où s’appuyer, un siège où tomber.

Miss Diana Stewart, sa cousine, l’aperçut et l’appela.

— Asseyez-vous près de moi, Frank, dit-elle ; j’ai bien des choses à vous dire… Oh ! je savais que ce coup vous frapperait cruellement.

— Vous êtes son amie, murmura Frank,