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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/267

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Elle leva les yeux au ciel, et deux larmes descendirent lentement le long de ses joues.

— Oh ! ce que je souhaite, reprit-elle en joignant les mains avec une exprimable passion ; — ce qui est mon rêve, c’est son amour !… Sont-ils assez puissants pour me donner son amour ?

La Française se prit à sourire et attira vers soi les deux mains de Susannah.

— Ils peuvent tout, répondit-elle en donnant à sa voix contenue une mystérieuse emphase. — Vous avez bien pleuré, n’est-ce pas ?

— Oh ! bien pleuré ! répondit Susannah.

— Vous oublierez ce que c’est que les lar-