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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/295

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tites fenêtres. Au dessus de l’une d’elles se lisait le mot : caisse.

Nos trente-six gaillards savaient lire assez pour déchiffrer ce mot magique.

Ils s’étaient assis en silence sur un banc de bois disposé comme un divan tout autour de la chambre. Le dernier venu seulement, ne trouvant point de place sur le banc, se tenait debout dans une embrasure et collait son nez aux vitres dont la transparence se cachait sous une épaisse couche de craie.

Au premier aspect, on eût dit qu’il essayait de regarder à travers cette opaque barrière ; mais, à le considérer mieux, on aurait pu reconnaître qu’un travail moins matériel oc-