Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/55

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Non ! mon cœur et mon corps, tout cela est à lui !

— Mais je ne te demande ni ton cœur, ni ton corps, enfant, s’écria Tyrrel ; — je suis aveugle !

Ces paroles arrivèrent aux oreilles de Susannah au moment où elle se balançait déjà, en équilibre, au dessus de l’eau. Elle se rejeta en arrière.

— Ni mon cœur, — ni mon corps ! répéta-t-elle ; — aveugle !… Alors que voulez-vous ?

— Je veux ta volonté.

Susannah pencha sa belle tête sur son sein.