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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/66

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— Vous la ferez demain, dit Anna.

— Demain ?… Il sera peut-être trop tard !

Clary regarda Stephen en souriant et fit un signe de tête. Elle crut que son cousin venait de faire un calembourg.

— C’est charmant, dit-elle. Stephen leva sur elle son œil plein de surprise.

— Que trouves-tu donc de charmant à cela, Clary ? s’écria Anna ; Stephen prétend qu’il a une course importante à faire… Nous resterons seules.

— Qu’importe ?… mon cousin viendra nous retrouver.