Aller au contenu

Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/67

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Sans doute ! s’empressa de dire Stephen. Ce sera l’affaire d’un instant.

Ils arrivaient au perron de l’église. Anna quitta d’un air boudeur le bras de son cousin, et entra ; Clary la suivit : Stephen resta sous la porte et se prit à réfléchir.

— Clary a de singulières distractions, pensa-t-il ; et je trouve qu’elle fait fort aisément le sacrifice de ma haute protection… si j’entrais ?…

Dût le lecteur prendre une opinion très défavorable de Stephen Mac-Nab, qui remplira dans ce récit un rôle recommandable, nous sommes forcés d’avouer qu’il n’avait aucune espèce de visite à faire dans l’intérêt de son