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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/81

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éraillés, puis, emporté par son espoir, il se frotta les mains en s’écriant :

— Il louche peut-être !

Cette bienfaisante idée le calma sensiblement, et, comme le sermon touchait à sa fin, il s’éloigna du beau rêveur pour observer plus commodément la conduite de Clary dans le mouvement qui allait avoir lieu parmi les congréganistes.

À peine était-il à son nouveau poste, que l’assistance se leva en masse : l’âme de Stephen passa dans ses yeux.

En se levant, Clary jeta un second regard