Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/170

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sans doute bien fort, car la pauvre femme ouvrit les yeux en poussant un petit cri de douleur.

Elle pâlit en voyant la pose menaçante et les traits bouleversés du marquis.

— Qu’avez-vous, don José ? demanda-t-elle.

— Madame, dit-il d’une voix sévère et contenue, il faut me répondre, entendez-vous !… me répondre clairement et sur-le-champ !… Que parlez-vous de trahir, et quel est cet homme que j’ai rencontré tout à l’heure sur mon chemin ?