Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/51

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

s’était accroupie derrière le poêle et commençait à se rendormir.

— Il faut pourtant que je la renvoie ! murmura Bob ; si elle savait… Femme, ajouta-t-il tout haut, je veux que le diable m’emporte si je puis te rien refuser… Tiens, voilà six pences… va boire.

— Six pences !… Mon joli Bob, encore six autres !

Lantern fronça ses sourcils fauves et leva son tisonnier d’un air menaçant. Tempérance, à qui l’idée de humer deux ou trois verres de gin rendait des jambes, déguerpit et remonta l’escalier en chantant.

Lantern la suivit doucement jusqu’à la