Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/18

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loge. Une main toucha l’écran, au milieu duquel apparut aussitôt un point lumineux.

— Mets ton œil à ce trou, lui dit-on.

Snail obéit. Sa vue, habituée déjà à l’obscurité de la loge, fut éblouie par les flots de la lumière qui tombaient du lustre et montaient de la rampe. L’homme qui avait passé sembla comprendre cela et attendit quelques secondes avant de reprendre la parole.

— Regarde en face de toi ; dans la première loge, sur le théâtre, dit-il ensuite. — Que vois-tu ?

— Je vois une lady, pardieu, avec une robe de satin et des clinquants qui brillent partout sur elle.