Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/19

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— Vois-tu la main de cette lady ?

— J’en vois une.

— Laquelle ?

— Attendez que je m’oriente, milord… Sa main droite… Non ! sa main gauche qui est appuyée sur le rebord de la loge… Ah ! par saint Georges, les belles bagues ! et que ma jolie Madge serait contente d’en avoir deux ou trois comme cela !

— Tais-toi… Nous disons que c’est bien la main gauche… Au doigt annulaire de cette main, tu dois voir une bague qui brille plus que les autres…

— Je crois bien, milord, je crois bien… On dirait un petit morceau de soleil !