Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 03.djvu/22

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L’écran toucha de nouveau la cloison de la loge. L’obscurité redevint complète. On lâcha la tête de Snail qui se secoua comme un barbet.

— Où diable ai-je vu cette belle lady… se demanda-t-il. Puis, tout-à-coup frappé d’un souvenir, il ajouta :

— Niais que je suis !… C’est qu’elle ressemble à Susannah, la fille des Armes de la Couronne… Il faudra que je la montre au capitaine pour le faire rire.

— Tu vas sortir, dit à ce moment la voix. Tourne-toi vers la porte et ne regarde pas derrière toi.