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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/194

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— Comme vous voyez, milord, dit-il, nous traitons de puissance à puissance : savoir, Votre Grâce avec moi ; mon envoyé avec votre maître.

— Il y a de la diablerie là-dedans, murmura le Tartare… En tout cas, monsieur le marquis, ajouta-t-il avec une certaine courtoisie, je vous dois des excuses… Je savais que le czar estimait votre haut mérite, mais j’ignorais…

— Laissons cela, milord.

— Quant aux trois cent cinquante mille roubles…

— Laissons cela encore… Je veux que Votre