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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/231

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et ses cheveux mouillés tombaient, épars, autour de lui.

Son costume écossais était également trempé d’eau et taché de sang.

Rio-Santo poussa un cri de surprise en voyant les traits de cet homme. Il s’élança et saisit une bougie, car il ne pouvait en croire ses yeux. La bougie lui montra qu’il ne s’était point trompé.

— Angus ! Angus ! s’écria-t-il ; — mon frère !

Le laird ne bougea pas.

Rio-Santo le souleva et l’étendit sur l’ottomane. — Il y avait des larmes sous les fières prunelles du marquis.