Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 04.djvu/76

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De l’autre côté de la fenêtre se trouvait une seconde lanterne. Master Gruff ne l’alluma point ; mais la clarté répandue par le fanal permettait de voir que cette seconde lanterne était fermée par un vitrage vert.

Nous l’avons vu briller déjà certain soir de dimanche sur la Tamise, pendant le brouillard, et nous savons qu’elle servait de signal à l’escadrille du bon capitaine Paddy, qui venait charger les dépouilles des malheureux qu’exploitait le petit commerce des époux Gruff. Nous aurons à nous étendre plus tard sur les mérites de cette nocturne industrie.

Quant à la lanterne jaune, nous en avons dit déjà quelques mots. C’était aussi un signal, mais qui s’adressait aux spéculateurs