Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/130

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— Admirable ! enchérit un troisième, — surtout quand elle rougit comme à présent… Vous en ferez ce que vous voudrez, Ismaïl.

— Ceci n’est pas douteux, répondit mon père.

— Et qu’en comptez-vous faire ? demanda le marchand Eliezer.

— Il faut distinguer, répliqua mon père ; j’en compte faire beaucoup de choses, dont la moitié environ est mon secret. Le reste, je puis vous le dire.

— Nous écoutons, dirent les convives.

Les flacons circulèrent à la ronde. Ismaïl reprit :