Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/167

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Ismaïl était sur le seuil.

— Qu’est cela ? demanda-t-il en fronçant les sourcils.

— C’est moi qui ai prié Roboam, monsieur… commençai-je.

— Mentez, Suky, mentez, ma fille, interrompit-il avec douceur ; — vous ne sauriez trop vous exercer à ce métier-là… mais, par Belzébuth, il ne faut pas rougir pour si peu, miss Susannah… On ne rougit que de ce qui est mal, ma fille.

Il s’avança vers Roboam, dont il tira rudement les cheveux.

— Quant à vous, maître Silence, lui dit-il,