Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/324

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— Roboam doit se repentir ce qu’il a fait, n’est-ce pas, et c’est lui qui m’envoie des secours ?

— C’est lui, monsieur.

— Pauvre fou !… murmura-t-il.

Et il poussa du coude Roboam qui ne l’avait point aperçu encore.

Je crus que Roboam allait se prosterner devant lui, tant son visage exprima en ce moment un respect profond, superstitieux, sans bornes. Mon père l’arrêta d’un regard et lui dit tout bas :

— Tu m’as perdu, mais tu voudrais me sauver… c’est bien. — Fais que le docteur