Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 05.djvu/47

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core la meilleure partie. — Tempérance disait qu’il était beau. C’était, en tout cas, une effrayante beauté que la sienne, milord…

Et sa voix !… comme elle éclatait sourde, moqueuse, menaçante ! — J’ai entendu depuis une voix semblable, Brian, une voix qui, la première fois que je l’entendis à mon oreille, me figea le sang dans les veines et me donna froid jusqu’à la moelle des os. C’était la voix d’un homme…

Susannah baissa le ton et s’approcha de Brian.

— C’était la voix de l’homme qui est maintenant mon maître, acheva-t-elle.