Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 06.djvu/247

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tion aucune, je vous remercie d’avoir violé le secret de cette retraite… Grâce à vous, je sais maintenant que ce pauvre malade n’est plus en danger de mort.

Il montrait Angus, endormi sur le lit. Moore s’inclina automatiquement.

— Je pense que je ne me trompe point, ajouta Rio-Santo. Vous avez dit que son état est désormais sans péril ?

— Je l’ai dit, milord.

— Monsieur le docteur, reprit le marquis, je vous remercie d’avoir mis à nu devant moi le fond de votre âme, tandis que je gisais là-bas, mourant…