Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/125

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reine apocryphe, — détache son masque en présence de l’homme qui vient de la posséder. Mais, derrière cet homme, il y a un poignard levé. D’une main, la reine se découvre le visage, de l’autre elle fait un signe, et le poignard tue.

Ce drame n’était pas fait alors ; le docteur Moore ne peut donc être accusé de plagiat ; mais, en tout temps, le crime eut les mêmes allures, et son masque, en tombant, sert toujours de funèbre signal.

Le docteur avait condamné Clary, et cette sentence était sans appel. Elle devait traîner sa vie de tortures tout le temps nécessaire aux expériences de Moore, puis…