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serrait pour faire un vivant piédestal à sa gloire.
Et c’était aussi notre Rio-Santo à nous, l’homme calme vis-à-vis de ces haines impétueuses, l’homme fort sous son écrasant fardeau de pensées.
Il revivait ; son front rayonnait. Sous l’éclair contenu de son œil, il y avait un monde de promesses et de menaces.
Le cavalier Angelo Bembo lui présenta la main pour l’aider à franchir le bas marche-pied de son équipage, au devant duquel piaffaient follement quatre magnifiques chevaux.
Rio-Santo le regarda en souriant. Bembo,