Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/170

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s’imposent à moi comme feraient les ordres d’un maître… Mais je ne m’appartiens pas, et ce qui vous paraît être ma volonté n’est que ma destinée… N’ai-je pas été forcé un jour de quitter cette douce vie que je menais auprès de vous ?… Écrivez, je vous prie.

Lady Ophelia trempa sa plume dans l’encrier et le marquis poursuivit :

— Écrivez à l’Honorable Frank Perceval que vous l’attendrez demain soir dans votre voiture, devant le théâtre de Saint-James, à l’angle de Duke-Street… Demain soir, à neuf heures.

Ophelia écrivit.