Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/328

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peu plus bas, la Famille vivait en paix ou à peu près avec la police. Mais cette paix-là lui coûtait fort cher.

S. Boyne, esq., était peut-être le seul lord de la Nuit qui pût soutenir sans danger un avis contraire à celui de Rio-Santo. C’était une puissance dans le conseil, bien qu’il fût homme de peu en définitive. Néanmoins, son opposition ne dépassait jamais certaines bornes, parce que S. Boyne, esq., avait de bonnes raisons pour être persuadé que Rio-Santo, — M. Edward, — avait en haut lieu des habitudes telles que, d’un mot, il eût pu mettre S. Boyne, esq., sur le pavé.

Or, S. Boyne, esq., se rendait justice. Il