Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/125

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navire trace autour d’eux un cercle fatal, au delà duquel rien n’existe, hormis des choses ridicules à leur point de vue, inutiles ou méprisables.

Or, Fergus n’était pas marin.

Quant à la manœuvre, il restait, sur son propre navire, en dehors de la hiérarchie active, et ne reprenait la première place qu’aux heures de combat.

C’était là une condition anormale, inouïe et singulièrement défavorable. Pour un matelot, le moindre maître d’équipage, sachant passablement la routine de son métier, est fort au dessus d’un homme de génie incapable de faire une épissure ou de chanter au cabestan :