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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/141

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— Au revoir ! dit Fergus aux matelots ; — nous nous retrouverons.

Paddy ouvrit la bouche, mais aucun des jurons qu’il tenait en réserve pour les grandes circonstances ne lui parut propre à peindre son attendrissement, c’est pourquoi il se contenta de soulever son chapeau en murmurant :

— Monsieur… Satan et sa femme !… que Dieu vous bénisse, soyons tous damnés !

Fergus fit un geste de la main. Paddy replaça son chapeau. La chaloupe s’éloigna.

Nos deux voyageurs s’engagèrent alors dans les terres. Ils étaient vêtus simplement et portaient leurs manteaux sur le bras. Pendant