Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/144

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répliqua Grahame ; — assurément, à votre place, je prendrais du bon temps… j’irais à Londres… j’écraserais de mon luxe cet impertinent Godfrey de Lancester…

— J’avais oublié Godfrey de LanGester, dit Fergus.

— Oui… vous êtes comme cela, reprit Randal ; — je sais de vos secrets tout juste ce que vous avez voulu m’en dire et parfois, comme aujourd’hui, je découvre par hasard un tout petit coin du mystère de votre cœur… Je ne me plains pas. Peut-être votre secret tout entier serait-il trop lourd à porter… je sais votre but… du moins, le but que vous vous proposiez il y a quatre ans.