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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/152

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Sa voix tremblait légèrement tandis qu’il parlait ainsi. Quelques pas seulement le séparaient de la maison ; il les franchit d’un saut et mit sa main sur le loquet de la porte.

— La porte est fermée en dedans, dit-il. Mon père ne fermait jamais notre porte !…

Il frappa. Une fenêtre s’ouvrit.

— Le vieux Randal Grahame ? demanda l’Écossais d’une voix pleine d’émotion.

— Voilà deux ans qu’il est mort, répondit-on.

La fenêtre se referma, Randal baissa la tête.

— J’aurais voulu le faire riche sur ses vieux