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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/153

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jours, murmura-t-il ; mais le voilà mort et un étranger habite notre maison… Ah ! je suis seul au monde, Fergus, et plus à vous que jamais.

Fergus lui serra la main en prononçant quelques paroles de consolation.

— Oui, oui, mister O’Breane, reprit Randal, nous devons tous mourir mais j’aurais mieux fait de rester auprès de lui… Ah !… Et c’est Mac-Nab qui a notre maison !… Je l’ai bien reconnu… On dit que c’est un honnête homme, celui-là… Sa fenêtre s’est fermée pourtant sans qu’il ait offert un gîte aux voyageurs.

— Êtes-vous bien sûr que ce soit M. Mac-Nab ? demanda Fergus.