Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/159

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

porte le nom d’Angus Mac-Farlane ? demanda-t-il.

La jeune femme baissa les yeux avec un pénible sourire. Son mari s’avança lentement vers Fergus.

— Il n’y a qu’un seul homme pour porter le nom que vous venez de prononcer, monsieur, dit-il d’une voix sombre, — et c’est un de trop !… Ceux qui l’ont vu aux jours de son bonheur se retrouvent avec lui face à face et le méconnaissent… C’est qu’il a bien souffert !… Mac-Farlane, lui, reconnaît encore le visage de ses amis, mais il ne sait plus leur nom… Comment vous appelez-vous ?

— Quoi, murmura Fergus dans son irré-