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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/177

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moi les murs chéris de la maison de notre père…

» Mais il m’est défendu d’espérer ce bonheur, mon frère.

» Le soir même de la réception de votre lettre, j’ai quitté la maison que j’habitais depuis trois mois. Je l’ai fait pour éviter votre présence. J’ai besoin de force, et si je vous voyais je deviendrais faible.

» Mon bon frère, je vous aime, vous le savez bien ; pardonnez-moi si je vous fuis.

» Je suis sous le coup d’une menace affreuse et terrible… Ma pauvre enfant, Mac-Farlane, mon enfant bien-aimée ! si vous saviez !… »