Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/178

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— Où en êtes-vous, O’Breane ? demanda Angus en ce moment. — Vous souvenez-vous combien elle était gaie autrefois ?… J’ai son sourire devant les yeux… Cela fait bien du mal !…

Il allongea ses deux mains sur ses genoux et demeura l’œil fixe, la tête penchée sur son épaule.

Fergus poursuivit sa lecture.


« Si vous saviez, mon frère !… Vous êtes hardi et généreux ; vous voudriez me défendre, attaquer ces hommes qui me font si malheureuse… Angus, je vous connais, vous le voudriez… et ce serait un horrible malheur.