Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/182

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


» Me venger !… Oh ! savez-vous, Angus ! cet homme me l’a dit… et il le ferait, mon Dieu !… À la moindre tentative, il la tuerait… »


En écrivant ce dernier mot, qui était presque illisible, la main de la comtesse de White-Manor avait tremblé violemment.

— Mais ce sont là des craintes folles ! s’écria Fergus. Quel que soit cet homme et si profonde que puisse être sa perversité, pourquoi tuerait-il un enfant ?… D’ailleurs, on peut agir avec prudence… le prévenir…

— J’ai écrit tout cela, mon frère, et il y a six mois que Mary a dû recevoir ma lettre…