Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/22

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Fergus comme eût pu faire un vrai gentleman, — que nous eussions été consultés pour le choix de notre chef. C’est là une chose, je pense, qu’il nous est permis de discuter.

— Edward Braynes, Paulus Waterfield, et vous major ou mister Smith, dit Randal en se levant, nous traitons une affaire sérieuse. Je vous connais tous et je connais ce gentilhomme. Sur ma parole, le meilleur d’entre nous ne lui va pas à la cheville : voilà mon opinion.

— Comment !… voulut s’écrier Waterfield.

— Je ne parle pas de vous, Paulus, interrompit froidement Randal ; — vous n’êtes pas le meilleur… Vous valez beaucoup, c’est vrai,