Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/220

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— Les rides ont disparu… l’œil s’est rallumé… mais le cœur ?…

— Il faut que je tue cet homme, O’Breane, dit Angus ; — il le faut !

Fergus lâcha aussitôt le bras de l’Écossais et se dirigea vers le foyer, auprès duquel il avait déposé sa casquette de voyage et son manteau.

— Adieu donc, mon frère, dit-il ; — mes heures sont comptées, et je n’ai pas le temps de m’arrêter ici davantage.

Angus demeura un instant comme atterré, puis il se jeta, les bras ouverts, entre la porte et Fergus.