Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/219

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blante déjà ; — n’ajoutez pas un mot !… Si bien engourdi que soit mon cœur, il ne sait pas encore entendre patiemment des paroles d’outrage !…

— Bien cela, frère Angus ! s’écria O’Breane en ressaisissant le bras que Mac-Farlane venait de lui arracher brusquement ; — voyez ! y a-t-il encore des rides à votre front ? votre œil n’a-t-il pas repris son fier regard d’autrefois ?… Voyez, mon frère.

Il avait entraîné Angus devant la glace suspendue au dessus de la table à ouvrage d’Amy Mac-Farlane.

Angus se prit à sourire involontairement. O’Breane poursuivit avec sévérité.