Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/298

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de Fergus O’Breane. Il accepta le combat comme une chance suprême. Les armes étaient en sa faveur. C’était le dirk, au maniement duquel les Écossais sont proverbialement habiles.

Au premier choc il tomba, en effet, comme nous l’a dit Stephen. — Mais O’Breane lui donna le temps de se relever. Une seconde fois il fut terrassé et Fergus le remit en garde sans blessures.

Ce ne fut qu’au troisième assaut qu’il reçut le coup mortel.

Ce meurtre et la mort d’Amy Mac-Farlane, qui arriva peu de temps après, aggravèrent l’humeur sombre du laird et le jetèrent dans