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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/340

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Jack souffrait jusqu’à se mourir ; son crâne dépouillé fondait en eau ; son pauvre vieux corps tressaillait, secoué par des frémissements pleins d’angoisses.

S’il n’eût pas été affolé déjà par la frayeur lorsque les deux amis quittèrent la chambre, il aurait deviné peut-être que la sombre lueur du foyer donnait seule aux objets de sa crainte cette apparence rougeâtre, et que les soudaines intermittences de la flamme suffisaient à mettre un semblant de vie sur ces ossements inanimés ; mais à présent son esprit, frappé violemment, était incapable de réfléchir.

Il subissait comme réels les effets de cette vulgaire fantasmagorie ; il serait mort sur place, si, comme il arrive d’ordinaire en ces