Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/37

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sourcil et frappa du pied en trépignant d’impatience.

— Pour ce qui est de moi, dit enfin le tueur de bœufs, je n’y ai point de répugnance ; car vous avez bon cœur et bon bras.

— Je vous obéirai, dit Smith à son tour, si vous nous expliquez…

— Je n’expliquerai rien.

— À la garde de Dieu ! s’écria Ned Braynes ; — je suis des vôtres, et je vous jure foi et hommage pour moi et pour le digne Absalon.

— Je ferai comme les autres murmura Smith.

Ils se levèrent et Fergus reprit :