Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/383

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Je le pense, monsieur.

— Et Anna ?

Stephen demeura un instant sans réponse, parce qu’il ne pouvait s’attendre, dans l’état où se trouvait Mac-Farlane, à l’inflexible logique de cette objection.

— Anna… balbutia-t-il enfin.

— Pensez-vous, monsieur, interrompit brusquement le laird, que cet homme les ait enlevées toutes les deux ?

Stephen hésita encore.

— Je le pense, monsieur, répondit-il une seconde fois.