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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/384

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Les sourcils d’Angus se froncèrent.

— Et vous savez le nom de cet homme, monsieur ?

Stephen fit un signe affirmatif.

Le laird, qui s’était levé, recula d’un pas et le couvrit d’un regard de mépris.

— Mac-Nab était un avocat, dit-il, comme en se parlant à lui-même, mais c’était un brave cœur… Comment se fait-il que son fils soit un lâche ?

Et comme Stephen voulait se récrier, il lui ferma la bouche d’un geste.

— Il y avait deux jeunes filles à la garde de