Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/76

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Randal, qui ne pouvait assurément comprendre ce scrupule, lui serra violemment le bras.

— O’Breane, avez-vous peur ? demanda-t-il.

— Non, répondit Fergus en cherchant enfin sous ses habits la crosse d’un pistolet, — j’ai honte.

En ce moment, les officiers de la corvette montèrent en masse par l’écoutille, et se dirigèrent vers le groupe formé par Fergus et ses trois compagnons.

— Mettez ces hommes à fond de cale, dit le lieutenant Naper après les avoir examinés ;