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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/77

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— nos étrivières en feront d’excellents matelots.

Le sang revint aussitôt aux joues de Fergus qui se redressa et arma son pistolet. Il allait avoir à combattre et non plus à égorger.

— N’avancez pas, sur votre vie ! dit-il au second qui se dirigeait vers lui pour exécuter l’ordre de Naper.

Le jour, incertain encore, ne permit point au second de voir que Fergus était armé. Il continua de marcher sur lui, le sabre levé.

— Ah ! s’écria Fergus avec un enthousiaste éclat de joie et comme si ses compagnons eussent pu comprendre sa pensée ; —