Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/185

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se tenait, sans armes, entre Stephen et Perceval.

— Milord, lui dit ce dernier, le moment serait mal choisi pour s’irriter de vos reproches ou relever sévèrement l’amertume outrageante que vous y mêlez. Je veux dire néanmoins à Votre Seigneurie que vingt chasseurs peuvent sans honte acculer le sanglier dans sa bauge… Veuillez nous suivre, s’il vous plaît.

Toute la troupe se mit en marche à l’instant vers Chapel-Street, afin de gagner le bureau de police de Westminster.

Le visage du marquis avait perdu son caractère de calme hautain et provoquant, pour