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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/206

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aussi bon et noble que vous avez pu le rêver dans l’ardeur de votre jeune amour.. Tant mieux ! oh ! tant mieux, chère lady ! vous, au moins vous désapprendrez à souffrir !

Elle baisa au front Susannah qui se penchait vers elle en rougissant et en souriant.

— Je viens vous demander un asile, Ophely, reprit cette dernière ; — si je ne puis vous dire mon secret, il faut bien pourtant que je vous apprenne l’embarras où je suis… je n’ai plus de retraite…

— Quoi ! s’écria étourdiment Ophelia ; — madame la duchesse de Gêvres ?…

Susannah garda le silence.