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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/46

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tesse de White-Manor à Londres, et si elle l’avait cru, j’aurais été forcé bien vite de plier bagage… Mais la sotte femme avait si grande frayeur de moi, que jamais Brian ni personne n’a pu tirer d’elle mon nom ou la retraite de sa fille… Je lui avais dis que je tuerais l’enfant…

— Je ne savais pas, interrompit Moore, que Brian eût été l’amant de la femme de son frère.

— Son amant ! s’écria Tyrrel ; — Lancester l’amant de la comtesse ! Ah ! docteur, vous pensez à quelque diablerie, je veux le gager, mais vous ne pensez pas à ce que vous dites… Brian est un fou d’espèce chevaleresque… Il