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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/47

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ne parlait jamais à la comtesse qu’avec le ton qu’on prend avec une reine, et…

— Assez ! dit Moore : cela m’est égal.

— À la bonne heure… j’en dis autant pour ma part… Quant aux deux jeunes filles, vous m’avez demandé mon plan : le voici… Nous les expédierons toutes deux de compagnie à notre maison de plaisance de Crewe, avec Maudlin et deux beaux garçons… Dans un an, elles nous reviendront formées, sinon… Il sera toujours temps, docteur.

Moore fit un signe d’affirmation indifférente.

— Ah ça ! reprit Tyrrel, vous ne m’avez