Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/49

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— Bien ! bien ! murmura Tyrrel, les raisins sont trop verts… Docteur, poursuivit-il à voix haute, mon avis a toujours été qu’on trouverait difficilement un chef aussi avisé que le marquis… Mais vous vouliez occuper son poste, et je conçois cela ; or, ce que vous voulez, j’ai pris l’habitude de le vouloir… Quant à son secret, nous le lui prendrons bien quelque jour.

— Son secret ! répéta Moore dont les yeux brillèrent.

Au moment où Tyrrel ouvrait la bouche pour répondre, le front étroit et luisant de maître Rowley se montra sur le seuil. L’aide empoisonneur avait sous le bras droit son in-