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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/50

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quarto favori, et tenait une lettre dans la main gauche.

À son aspect, Tyrrel se boucha précipitamment le nez, ce qui porta l’aide-pharmacien à grommeler entre ses dents avec dédain son éloquente exclamation :

— Tatatata !

Ce soin rempli, Rowley traversa tout doucement l’espace qui le séparait de son maître, et mit devant lui la lettre qu’il tenait à la main.

— Allons, maître, allons ! dit Tyrrel avec impatience.

Rowley comprit parfaitement qu’on l’invi-