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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/69

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Paddy, au lieu de répondre, se baissa tranquillement et saisit par l’épaule le malheureux Rowley, qui se frottait les côtes sur le tapis, en constatant le dommage éprouvé par son in-quarto chéri. Paddy le releva, lui imprima un mouvement de rotation et lui fit passer le seuil du cabinet en un clin d’œil, de telle sorte que Rowley, lorsqu’il s’arrêta, étourdi, au milieu de la chambre voisine, crut voir les quatre murailles tourner autour de lui, et ne put exprimer sa stupéfaction que par son ta ta ta ta, prononcé, il est vrai, d’une façon particulière et faite pour donner à penser à ceux qui l’auraient entendu.

Paddy avait fermé la porte du cabinet.

— Jédédiah Smith, dit-il sans plus de préam-